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Un exercice psychique pour soulager les
parents (Percevoir et accomplir une "double mission") Un enfant nouveau-né peut toucher délicatement une douleur psychique
de la mère ou du père et il peut
le consoler. En revanche,
les parents peuvent être tentés d'essayer de soulager une douleur de leur propre enfance en manifestant une tendresse affectueuse envers leur enfant nouveau-né. Cependant, on crée ainsi inconsciemment
une sorte de confusion
entre sa propre enfance, que nous en tant qu'adulte portons en nous comme „l'enfant intérieur“, et l'enfant
nouveau-né. Le nourrisson devient
de cette manière l'écran de projection pour les douleurs psychiques que les adultes portent en eux. Par conséquent, cela empêche les parents de percevoir et de respecter de manière
appropriée l'originalité,
l'essence nouvelle et unique que l'enfant représente. Si l'on projette „l'enfant intérieur“ d'un des parents sur le nourrisson,
on le pousse inconsciemment
à endosser un rôle qui ne
lui appartient pas et qui
ne lui fait pas du bien
car cela affecte l'auto-développement et l'auto-perception
du nourrisson. De ce fait, il est psychologiquement
précieux et libérateur
pour les parents et leur enfant si
le père et la mère perçoivent, à travers leur
nouveau-né, leur propre
"enfant intérieur" et ainsi
reconsidèrent leur propre histoire d'enfance, mais qu'ils assument
eux-mêmes la responsabilité
de leur "enfant intérieur.
La naissance de l'enfant révèle
une double tâche
pour les parents :
À travers la naissance d'un enfant, des parties réprimées
et oubliées de l'âme du
passé des parents sont en
fait touchées et éveillées. Comment la distinction importante de ces deux "enfants" est-elle possible? La mère dit à son "enfant intérieur" : Je
m'occupe de toi, du
petit/ de la petite N ! (en gardant
les mains sur le ventre !) Je
te console, je te protège, je te comprends, tous ce que tu as vécu à l'époque où j'étais encore jeune. Tu fais
partie de moi, tu es une
partie constante de mon
histoire personelle et une
partie constante de mon être. Je t'accepte avec tous tes sentiments que tu sois triste ou en colère,
jaloux ou récalcitrant, inquiet ou vexé. Tous
tes sentiments doivent avoir une place importante en moi. Mais, tu
dois aussi voir que je suis
devenu une personne adulte, que j'ai accompli beaucoup de chose et maintenant
j'ai donné naissance à une nouvelle vie humaine.
Voici, regarde l'enfant que j'ai mis au monde. Il est une créature toute nouvelle qui doit découvrir son propre moi et nous devons respecter
son originalité et son altérité.
Nous devons l'accompagner
bien et nourrir son
corps, son esprit et son âme avec tous ce dont
il a besoin pour devenir un homme indépendant et
sûr de soi. À l'enfant nouveau-né : Regarde, je m'occupe de mon petit / ma petite N, que j'étais et qui est encore en moi. Tu
n'es pas le petit / la petite N. Tu n'as pas besoin
de remplacer le petit / la petite N. Tu as ta propre place dans mon cœur. Tu dois avoir
une bonne place dans notre famille. Peut-être qu'il y a
encore des douleurs passées
de mon enfance en moi que tu as touchées. J'accepte que tu me prennes par la main et
que tu me ramènes dans ma propre enfance. Je veux revoir mon enfance encore une fois et accepter chaque phase comme mon histoire. En plus, je
veux m'occuper moi-même de tous les problèmes non résolus et douloureux dans ma propre histoire et - si nécessaire - je vais demander à
des adultes de m'aider si je ne m'en sors pas seul. Mais
toi, tu ne dois pas être mon rédempteur; tu peux être
"toi-même". Tu
peux prendre de nous ce dont tu
as besoin pour devenir un
être humain sur de soi-même, indépendant et affectueux ; et
tu peux regarder en avant,
vers ton avenir, vers un nouveau monde que nous ne connaissons
pas encore ; et tu
peux trouver une place dans le monde où tu ressens
que tu fais partie de l'ensemble et où tu peux
développer tes forces et capacités. Et
un jour, tu peux te détacher de plus en plus de nous et tu peux tisser le dialogue entre
ton esprit et ton âme et la diversité
des créatures et aussi le
secret qui est à l'origine
de nous tous. Que
Dieu bénisse ton chemin et bénisse notre amour pour toi! Même
si la mère a une autre relation avec le nourrisson que le père au moyen de l'expérience physique directe de la grossesse, il est important pour le père ausside ne pas confondre son propre "enfant intérieur"
avec le nouveau-né. Cela vaut
aussi pour la relation entre les grands-parents
et les petits-enfants nouveau-nés.
Le rite de perception ci-dessus est
aussi une aide pour le père ou les grands-parents sous
une forme modifiée. Manfred
Hanglberger (www.hanglberger-manfred) LIEN pour partager: https://hanglberger-manfred.de/inneres-kind-geborenes-kind-fran.htm |
Eine seelisch
entlastende Übung für Eltern (Wahrnehmung und Erfüllung einer „doppelten Aufgabe“) Ein neugeborenes Kind vermag einen seelischen Schmerz bei der Mutter oder beim Vater zart zu berühren und zu trösten. Umgekehrt können Eltern sich dazu verleitet fühlen, einen Schmerz aus ihrer eigenen Kindheit durch liebevolle Zuwendung zu ihrem neugeborenen Kind beruhigen zu wollen. Aber dadurch geschieht unbewusst eine Art Verwechslung zwischen der eigenen Kindheit, die wir als erwachsene Menschen als „Inneres Kind“ in uns tragen und dem neugeborenen Kind. Der Säugling wird auf diese Weise zur Projektionsfläche für seelische Schmerzen, die die Erwachsenen in sich tragen. Das verhindert, dass Eltern die Originalität, das Neue und Einzigartige, das ihr Kind verkörpert, in angemessener Weise wahrnehmen und achten können. Wird das „Innere Kind“ eines Elternteils auf den Säugling projiziert, wird dieser unbewusst in eine Rolle gedrängt, die ihm nicht zusteht und nicht gut tut, da dadurch seine eigene Ich-Entwicklung und Selbstwahrnehmung belastet wird. Deshalb ist es für Eltern und ihr Kind seelisch wertvoll und befreiend,
wenn Vater und Mutter durch ihr neugeborenes Kind ihr eigenes „Inneres Kindsein“ und damit ihre Kindheitsgeschichten neu
wahrnehmen, aber für ihr „Inneres Kind“ selbst die Verantwortung
übernehmen. Eltern bekommen durch die Geburt ihres Kindes deshalb eine doppelte
Aufgabe:
Durch die Geburt eines Kindes werden nämlich verdrängte und vergessene Seelenteile aus der Vergangenheit der Eltern angerührt und wachgerufen.
Wie ist die wichtige Unterscheidung dieser beiden „Kinder“ möglich? Folgende Übung will dazu eine Hilfe sein:
Die Mutter sagt zu ihrem „Inneren Kind“: Ich sorge für dich, für die (den) kleine(n) N! (Hände am Bauch!) Ich tröste dich, ich schütze dich, ich fühle mit dir, mit all dem, was du damals erlebt hast, als ich noch klein war. Du gehört zu mir dazu, du bist bleibender Teil meiner Lebensgeschichte und bleibender Teil meines Wesens. Ich nehme dich an, mit allen deinen Gefühlen, ob du traurig bist oder wütend, eifersüchtig oder trotzig, ängstlich oder beleidigt. Alle deine Gefühle sollen in mir einen guten Platz haben. Aber du sollst auch sehen, dass ich ein erwachsener Mensch geworden bin, dass ich schon viel geschafft habe und jetzt einem neuen Menschen das Leben geschenkt habe. Schau, hier ist das Kind, das ich zur Welt gebracht habe. Es ist ein ganz neues Wesen, das sein eigenes Ich entdecken soll und wir wollen es achten in seiner Originalität und seinem Anderssein. Wir wollen es gut begleiten und es körperlich, geistig und seelisch ernähren mit allem, was es braucht, um ein eigenständiger und selbstbewusster Mensch zu werden.
Zum neugeborenen Kind: Schau, ich sorge für meine(n) kleine(n) N., die (der) ich war und die (der) in mir weiterhin da ist. Du bist nicht die (der) kleine N., du musst sie (ihn) nicht ersetzen. Du hast einen eigenen Platz in meinem Herzen. Du sollst einen guten Platz in unserer Familie haben. Vielleicht trage ich noch alte Schmerzen aus meiner Kindheit in mir, die du angerührt hast. Ich lasse mich von dir an der Hand nehmen und zurückführen in meine eigene Kindheit. Ich will meine eigene Vergangenheit noch einmal anschauen und jede Phase annehmen als meine Geschichte. Und ich will für alles Ungelöste und Schmerzhafte in meiner eigenen Geschichte selbst Sorge tragen und - wenn nötig - von erwachsenen Menschen Hilfe holen, wenn ich alleine damit nicht zurechtkomme. Aber du musst nicht mein(e) Erlöser(in) sein; du darfst „du selbst“ sein. Du darfst von uns nehmen, was du brauchst, um ein selbstbewusster, eigenständiger und liebevoller Mensch zu werden; und du darfst nach vorne schauen, in deine Zukunft hinein, in eine neue Welt hinein, die wir noch nicht kennen; und du darfst deinen Platz in der Welt finden, an dem du dich zum Ganzen dazugehörig fühlen kannst und deine Kräfte und Fähigkeiten zur Entfaltung bringen kannst. Und du darfst uns eines Tages immer mehr zurücklassen und den Dialog deines Geistes und deiner Seele mit der Vielfalt der Geschöpfe pflegen und auch mit dem Geheimnis, aus dem wir alle geworden sind. Gott segne deinen Weg und segne unsere Liebe und Sorge für dich!
Auch wenn die Mutter durch die unmittelbare körperliche Erfahrung der Schwangerschaft eine andere Beziehung zum Säugling hat als der Vater, ist es auch für den Vater sehr wichtig, das eigene „Innere Kind“ nicht mit dem Neugeborenen zu verwechseln. Ähnliches gilt auch für die Beziehung von Großeltern zu neugeborenen Enkelkindern. Der oben stehende Wahrnehmungsritus ist in abgeänderter Form ebenso für den Vater bzw. für die Großeltern eine Hilfestellung.
Manfred Hanglberger (www.hanglberger-manfred)
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Un exercice psychique pour soulager les parents et leur enfant |
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